Des expositions et des photographes. Calendrier fin 2021.

Des expositions et vernissages FULL DAYS...

Toutes les deux semaines, découvrez de nouvelles photographies d'art, exposées aux cimaises de l'Audacieuse-Galerie. Les vernissages sont organisés tout au long de la journée pour que vous puissiez profiter des oeuvres avec une moindre fréquentation. Ainsi, nous vous recevons mieux encore, afin de partager davantage de temps ensemble. A bientôt pour les FULL DAYS OF OPENINGS!

Des expositions et des photographes:

Du 1er juin au 31 juin: Photographies de Stéphane Stribick

Au travers de ses nombreuses quêtes de lieux, une somme de photographies se matérialise pour produire une bibliothèque d'instants paysagés. Stéphane Stribick, alias Le RecomposeuR nous emmène redécouvrir des lieux traversés: Des espaces secrets d'une rue enfermée par le crépuscule... d'une cathédrale déracinée par le temps... d'un palais envolé en plein ciel... Partout, il interroge les « formes cachées » de ces endroits, en cherchant la formule... jusqu'à résoudre l'énigme dans une composition graphique aussi inattendue qu'intemporelle.

Du 1er juillet au 31 juillet: Photographies de Jason Gardner

Jason Gardner raconte des histoires en utilisant la photographie et la vidéo dans le cadre de l'anthropologie visuelle. Il est passionné par la musique, la culture et les rituels, et leur impact sur l'expression humaine. Jason a continué à développer le projet "Retour au Carnaval" : Rituels, racines et rebelles", photographiant d'autres célébrations du rnaval en Bulgarie, Slovénie, Pologne, Pays Basque, Espagne, Dunkerque, France, Guinée-Bissau, Sardaigne, Italie et Autriche, Trinidad, Bahamas, Nouvelle Orléans et Louisiane, pays cajun.

Du 1 aout au 14 septembre: Photographies de Téo Becher

Téo explore diverses dimensions de la photographie documentaire notamment au travers du paysage et de la place de l'homme dans celui-ci. Sa démarche le conduit dans des lieux où la nature a une forte présence afin de questionner le rapport des individus avec leur habitat. Il n'y a même pas un siècle, les Inuvialuits étaient nomades, ils n'habitaient pas un lieu en s'y fixant mais en le parcourant de long en large, au gré des troupeaux de caribous qu'ils chassaient sur le territoire canadien.

Du 1er septembre au 30 septembre: Photographies de Charlotte Bresson

Charlotte Bresson, qui se destinait à être détective privée, a renoncé aux filatures mais a gardé une curiosité au monde en laissant leur part de mystérieux et de suggestivité aux choses qui l’entourent. Un jour, prendre son instinct de survie et sa bagnole. Eviter les autoroutes, finir sur des chemins de terre en cul-de-sac. Pleine nuit, ne croiser personne. A neuf heures du soir, rideau. Tout est fini. Ne restent que les néons des diners : OPEN. Et déserts. Des cow-boys, des indiens. Les croiser. Les photographier. N’être que de passage dans l’immensité du territoire américain. Repartir. 

Du 15 septembre au 14 octobre: Photographies de Maximilien Minsk

En utilisant majoritairement le principe féminin, Maximilien Minsk souhaite se placer sur une ligne de deux opposés, du pur et de l'impur, du géniteur et du castrateur, de l'angélique et du démoniaque afin d'en pouvoir trouver l0e point d'équilibre. Foyer optique, précaire et instable, il est prêt à s’effondrer, disparaître et renaître à la moindre tentative d'interprétation. Gorgones, Lilith, déesses chthoniennes ou célestes, constituent la base d'un alphabet que l'étude des ésotérismes, des religions des mythologie et certaines données scientifiques, finissent de symboliser.

Du 1er octobre au 31 octobre: Photographies de Simon Gruber

Simon Gruber a découvert très tôt son lien profond avec la nature, qu'il a ensuite tenté de représenter à l'aide de son appareil photo. Ayant grandi dans le Mühlviertel autrichien, façonné par la nature, Simon Gruber a découvert très tôt son lien profond avec la nature, qu'il a ensuite tenté de représenter à l'aide de son appareil photo. L'examen constant de la perception personnelle et de ce que l'on exprime dans ses images l'a amené à expérimenter très tôt la caméra afin de trouver sa propre identité artistique.

Du 15 octobre au 14 novembre: Photographies de Thierry Vezon

Thierry Vezon a commencé sa carrière en tant que photographe de nature en 2004.  Il est attiré par le Grand Nord, les régions arctiques et les paysages glacés et enneigés. Cependant, ses endroits préférés sont situés dans sa région : la Provence, la Camargue et les Cévennes. Il aime s'immerger dans la nature et tente dans ses photos de mettre en valeur les effets émotionnels que la faune et le paysage peuvent avoir sur lui. Il est également un spécialiste des photos aériennes. Travaillant régulièrement avec des associations sensibles à l'environnement, il espère pouvoir sensibiliser les gens à la protection de la nature. Il tente de réaliser des photos de manière artistique et esthétique en souhaitant procurer de l'émotion aux gens.

Du 1er novembre au 31 novembre: Photographies de Ysel Fournet

La série de photographies d'Ysel Fournet est une introspection sentimentale face au temps qui nous échappe. La création, l’enfance, la procréation, nous permettent de mieux appréhender la difficulté d’accepter l’inexorable destin qui nous attend. En plaçant les questions existentielles dans un cadre darwinien, cartésien, mathématique, biologique et laïc, on peut s’appuyer sur le siècle des lumières plutôt que sur le mysticisme pour expliquer ...la mort.

Du 15 novembre au 15 décembre: Photographies de Georgii Vinogradov

Georgii Vinogradov s'est concentré sur la société post-soviétique. Il a représenté la vie des villages, a photographié la vie dure, les rêves ruinées et la censure absurde des corps de femmes dans la société russe d’aujourd'hui. Maintenant, il explore la notion des «éclats de l'Union soviétique». Le premier chapitre de ce travail concerne le musée des voitures soviétiques au champs.

Du 1er décembre au 31 décembre: Photographies de Stéphan Lamielle

Artiste né, Stéphan Lamielle est un curieux ayant de fortes affinités pour le land art. Passionné par la nature il fait corps avec elle  à travers différentes escapades sportives: Ski alpinisme, trekking. Pour Stéphan, ces longs cheminements dans les montagnes sont autant de quêtes énigmatiques. Stéphan Lamielle crée des compositions originales, riches de textures, sur des jeux de lumières naturelles. Quand le ciel est menaçant, le temps maussade, dans les sommets élevés, il trouve une intimité inédite. Loin du tumulte urbain, chacun de ses clichés transmet un peu de ce moment de sérénité. En écoutant avec le coeur, le visiteur pourra entendre la montagne lui chuchoter ses secrets.