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Simon Gruber a découvert très tôt son lien profond avec la nature, qu'il a ensuite tenté de représenter à l'aide de son appareil photo. Ayant grandi dans le Mühlviertel autrichien, façonné par la nature.
Il a également intensifié cette passion pour la nature sous toutes ses facettes loin de chez soi à travers divers voyages de trekking dans des régions isolées du monde entier.
L'examen constant de la perception personnelle et de ce que l'on exprime dans ses images l'a amené à expérimenter très tôt la caméra afin de trouver sa propre identité artistique.
La Série « Les Recomposés Paysagés » « ReCompA » 2015-2019
Au travers de ses nombreuses quêtes de lieux, une somme de photographies se matérialise pour produire une bibliothèque d'instants paysagés. Le RecomposeuR nous emmène redécouvrir des lieux traversés: Des espaces secrets d'une rue enfermée par le crépuscule... d'une cathédrale déracinée par le temps... d'un palais envolé en plein ciel... Partout, il interroge les « formes cachées » de ces endroits, en cherchant la formule... jusqu'à résoudre l'énigme dans une composition graphique aussi inattendue qu'intemporelle.
Tel un chercheur dans son laboratoire, Le RecomposeuR manipule, assemble, fusionne des molécules numériques pour trouver la bonne réaction... ainsi des particules paysagères se révèlent en une surréalité. « Je crois à la résolution future de ces deux états, en apparence si contradictoires, que sont le rêve et la réalité, en une sorte de réalité absolue, de surréalité, si l’on peut ainsi dire. » A.Breton - Manifestes du Surréalisme.
L'expérience de la forme s'élabore par une rencontre fortuite : Le vécu d'un lieu exploré... L'émotion d'un souvenir cherché... Le rêve d'un paysage retrouvé... L'alchimie s'opère et apparaît une nouvelle vision... Entre réalité et fiction, une combinaison infinie de possibles se recompose.
« Une collection fortuite de fragments topographiques télescopés aux distances abolies, où j'investis du sens parce que je lui reconnais la dignité d'un système formel et que je la traite, en somme, à l'égal d'une oeuvre. » André Corboz - L'espace et le détour.
Dans la série Tuk Time, Téo s'intéressa au paysage en tant que lieu habité : il n'y a même pas un siècle, les Inuvialuits étaient nomades, ils n'habitaient pas un lieu en s'y fixant mais en le parcourant de long en large, au gré des troupeaux de caribous qu'ils chassaient. Les Occidentaux les forcèrent ensuite à se sédentariser, afin d'installer leur souveraineté sur le territoire canadien.
Ce changement de paradigme pose de nombreuses questions d'autant qu'il s'est accompagné d'une volonté d'acculturation de la part des autorités occidentales et résulte aujourd'hui en un mélange complexe de traditions inuvialuits et de société de consommation effrénée.
Thierry Vezon a commencé sa carrière en tant que photographe de nature en 2004. Il est attiré par le Grand Nord, les régions arctiques et les paysages glacés et enneigés. Cependant, ses endroits préférés sont situés dans sa région : la Provence, la Camargue et les Cévennes. Il aime s'immerger dans la nature et tente dans ses photos de mettre en valeur les effets émotionnels que la faune et le paysage peuvent avoir sur lui. Il est également un spécialiste des photos aériennes. Travaillant régulièrement avec des associations sensibles à l'environnement, il espère pouvoir sensibiliser les gens à la protection de la nature. Il tente de réaliser des photos de manière artistique et esthétique en souhaitant procurer de l'émotion aux gens.
Il est régulièrement publié dans de nombreux magazines français et internationaux dont Terre Sauvage, Nat'images, Géo, BBC Wildlife Magazine.......
De 2008 à 2021, Thierry a publié et illustré 10 livres traitant de la biodiversité et de l'art de la nature.
Ses photos sont exposées dans de nombreux festivals de photo nature (comme le Festival international de Montier-en-Der).
La série de photographies CALLIPHORA est une introspection sentimentale face au temps qui nous échappe. La création, l’enfance, la procréation, nous permettent de mieux appréhender la difficulté d’accepter l’inexorable destin qui nous attend.
En plaçant les questions existentielles dans un cadre darwinien, cartésien, mathématique, biologique et laïc, on peut s’appuyer sur le siècle des lumières plutôt que sur le mysticisme pour expliquer la mort.
Exutoire personnel et quête d’un sentiment universel se répondent dans ces surimpressions photographiques inquiétantes mais sincères.
Nous serons le festin de la mouche Calliphora mais quel plus beau rêve que de s’inscrire dans la chaine alimentaire, le cycle de la vie que nous propose la révélation scientifique !